P*****, j’ai pêché une truite monstrueuse !!

J’ai une belle histoire à vous raconter mais avant de commencer, j’aimerai simplement vous dire que je n’ai rien inventé et que je vais écrire ces quelques lignes comme elles me viennent afin de vous partager spontanément ma dernière partie de pêche exactement comme je l’ai vécue…. de l’intérieur !!

Ce weekend, mon pote Seb me propose une fois de plus notre petite formule coup du soir / coup du matin. J’ai beaucoup pêché cette saison, parfois trop, au point de ne pas avoir eu le temps de partager nos sorties sur le blog. Le plaisir de la pêche prime et je me suis toujours fixé la règle de ne pas publier par obligation.

Cette fois ci, je ne peux pas passer à côté d’un petit compte rendu rapide sur une sortie pas comme les autres. Après avoir décliné l’invitation du samedi soir pour rester un peu en famille, c’est le dimanche en fin d’après-midi que j’ai décidé d’aller pêcher un peu.

Seb me fait un débriefe pas trop dégueu de son weekend. Les eaux se sont teintées légèrement avec les orages des jours précédents, est-ce la raison d’un regain d’activité sur la rivière ?

Je prend la voiture et m’en vais sur une petite rivière de plaine.

J’emprunte le premier chemin qui s’offre à moi pour aller au bord de l’eau. Il s’agit d’un parcours que je ne connais pas.

Je commence par pêcher un peu au leurre et je rate quelques poissons dans une eau cristalline, bien loin des conditions décrites par Seb. Je fais face à des poissons méfiants qui, malgré mon bas de ligne 20/100ème en fluorocarbone, ne se laissent pas piquer par mon Rapala Countdown.

Je marche le long de la rivière et découvre un ou deux poissons postés dans les courants en train de nympher. Le comportement idéal pour pêcher à vue.

Je décide alors de ranger la canne à leurre pour sortir le fouet et j’accroche une petite nymphe très peu lestée. Je pique mes premiers poissons à quelques mètres. Mon séjour sur les rivières de Franche-Comté m’a obligé de soigner mes posés et les dérives de ma nymphe.

Ce que j’aime sur les rivières difficiles, c’est qu’elles t’obligent à remettre en question tes approches et ça marche !!

Truite en nymphe à vue

Une belle dérive et le poisson se laisse tenter.

Je continue de descendre sur la rivière que je ne connais pas. Aucune trace de passage pourtant je découvre quelques endroits prometteurs. En scrutant le fond avec les lunettes polarisantes je ne trouve pas grand chose à me mettre sous la dent. Alors je continue de descendre.

Je traverse la rivière pour m’approcher d’un poste encombré de l’autre côté. Je longe la végétation discrètement pour ne pas laisser paraitre ma silhouette à l’approche du spot. Je me pose et j’observe car ici, c’est impossible de ne rien croiser.

Après quelques minutes, j’aperçois une truite qui sort de sa tanière et qui s’approche de moi. Je la vois en train de mâcher quelque chose. Non ce n’est pas un chewing-gum ^^ elle se nourrit sûrement d’une larve de trichoptère glanée sur son chemin.

Je lui présente mon petit trichoptère en peau de chamois dont elle s’empare sans attendre, je fère mais elle se dépique de suite !!! Shit !!!

La lumière diminue

Je continue ma route alors que la journée se termine déjà. Les journées deviennent de plus en plus courte à la mi-Aout.

Le courant ralenti et le fond commence à être plus important. J’aperçois enfin un beau poisson de 45cm posté devant un obstacle mais qui ne semble pas s’alimenter. Malheureusement je suis en surplomb et il y a de forte chance qu’elle me grille si je descend l’attaquer.

Je m’allonge contre la pente, toujours camouflé jusqu’aux oreilles pour descendre l’attaquer mais elle me grille après quelques secondes d’approches.

Les postes qui suivent semblent de plus en plus prometteurs. Pour montrer ce bout de parcours à mon pote Seb, j’en profite pour faire quelques photos. En balayant la surface, j’aperçois une truite monstrueuse qui chasse quelque chose sous la surface plus bas.

Je m’approche tant qu’elle n’est pas postée et profite de son petit manège pour me cacher.

Comme toujours, j’observe longuement et la vois remonter tranquillement la rivière. Au même moment, je découvres d’autres poissons de belle taille en amont de la belle fôsse.

P*****, j’ai enfin trouvé du fish !!

La lumière est encore trop importante pour les attaquer car je suis encore en surplomb. Impossible de les attaquer sans se faire griller. Je prend la décision de prospecter la fin du pool.

Je vois deux poissons gober. J’attaque le premier en nymphe ultra légère dans 20cm d’eau. La première dérive n’est pas bonne car mon bas de ligne passe au dessus le poisson.

Là ou sur les rivières de compet (comprenez Le Doubs, La Bienne, l’Ain, etc), le poisson se serait barré. Ici il arrête son alimentation mais te laisse quelques chances supplémentaires 😉

A la deuxième dérive, il ne se passe rien alors je change de nymphe.

Troisième : beau posé cloche 3m en amont du poisson comme dans les film. La petite Pheasant tail arrive dans la gueule du fish que je pique soigneusement au bout des lèvres !! Yesss

Une pheasant tail et c'est dans l'épuisette

Une pheasant tail et c’est dans l’épuisette

Le moment des grosses truites.

Pendant le shooting, j’entends un gros gobage plus haut. Je m’approche mais n’aperçois pas le poisson qui doit être plus en profondeur. La luminosité diminue alors je me décide quand même à accrocher une sèche en piteux état tant ma boite est pauvre.

Je fais quelques posés et finis par apercevoir le poisson. Je ramène ma sèche déplumée qui s’est littéralement décomposée avec l’eau afin d’accrocher à nouveau une nymphe digne de ce nom.

En attendant la vue du poisson, un monstre passe tranquillement à mes pieds !! Jamais vu ça, un poisson tout en muscle qui fait son tours. Est-ce le même que je venais d’apercevoir plus haut ? On dirait mais je ne suis pas sure.

Je le laisse repasser sans bouger pour ne surtout pas me faire griller car je ne suis pas prêt à “arbaléter”. Une fois repartie je l’attend impatiemment, la nymphe en main mais l’expérience de ce vieux poisson qui ne fait jamais le même circuit ne me donnera pas de seconde chance.

Après quelques longues minutes, je reprend la traque du poisson d’en face.

Je présente la bébête sur la berge d’en face et la truite se jette dessus !! C’était presque facile. Je bride tout de suite mon poisson pour l’épuiser plus en aval afin de ne pas effrayer les gros spécimen d’en haut.

Je retente ma chance sous mon arbre en observant le fond de la rivière. J’en profite pour couper les orties entre mes ongles pour me faire une place de traque pensant déjà à une prochaine fois.

C’est le moment que j’adore. La truite montre son visage en faisant une brève apparition, tu en rêve toute les nuit jusqu’aux fois suivantes ou tu l’attend !! Tu l’attend autant de fois et aussi longtemps qu’il faudra pour le revoir. C’est ce détail qui a toute son importance pour faire des poissons record selon moi.

Je finis par me résigner à abandonner le poste pour aller jeter un coup d’œil rapidement à la fin du parcours. Ne voyant plus grand chose de plus, je décide enfin à faire demi-tours pour rentrer.

On est au moment ou j’enlève mes lunettes polarisantes car il commence à faire trop sombre. Il reste en général une petite heure de pêche à vue.

En remontant, je scrute une dernière fois le haut de la fosse ou j’étais trop en surplomb 2h avant.

Contre toute attente, je vois ce poisson monstrueux tourner le long de la berge d’en face !!!

Mon cœur commence à s’accélérer.

C’est à ce moment là qu’il ne faut pas faire n’importe quoi. J’ai perdu trop de poissons en me précipitant. Dorénavant, je regarde ou sont positionnés les branches d’arbres pour fouetter, je teste mon bas de ligne en tirant fortement dessus, je cherche l’endroit idéal pour me jeter à l’eau si besoin.

J’essaie de penser à toute les possibilités qu’a le poisson pour se cacher et me casser et surtout aux miennes pour y faire face 😉

Cette fois ci, c’est le moment, j’observe son manège en bordure et m’accroupis dès qu’il ne me voit pas. Je met la pointe de mon bas de ligne dans la bouche et tire sur la soie vers le dernier anneau de ma canne.

J’ai mon gammare léger dans les mains.

Je commence à fouetter proprement en sortant de la soie. Je réalise un premier posé assez loin du poisson pour ne pas prendre de risque et maîtriser la distance qui m’en sépare.

Je réalise à nouveau un faux lançer et vais claquer mon gammare au pied d’une grosse algue qui se trouve sur le parcours de ma truite. Le posé est propre alors je le laisse descendre avant de faire l’animation nécessaire.

Elle s’approche de cette algue et c’est le moment pour moi de décoller le gammare en espérant ne pas y être accroché.

Je la vois tourner la tête sèchement et se diriger vers ma nymphe. Elle ouvre son four blanc monstrueux qui en dit long sur la morphologie du poisson. Je lui laisse 1 seconde et ferre sèchement en me levant.

Le monstre de la rivière existe vraiment, il est pendu devant moi !!!

Le poisson se retourne sans vraiment savoir se qu’il se passe comme souvent quand ils sont gros,… très gros !! Mais là, c’est une poutre que je viens de décoller ?

Je ravale à toute vitesse la soie entre mes doigts pour la garder en contact mais je me brule les doigts tant m’a ligne est tendue à bloque. La canne est déjà pliée en deux et à ce moment là, je doute vraiment de mes capacité à la ramener à l’épuisette.

La soie traine à mes pieds entortillée dans les orties, si je descend de suite, je risque le désastre en ayant plus aucune réserve en cas de rush.

En restant en hauteur, je la bride plus facilement en surface pour ne pas qu’elle se dirige vers le fond. Je garde alors ma dernière carte au cas ou elle prenne l’aval.

Elle est très lourde et je la bride dès le début à la limite de la rupture de mon 14/100ème. J’ai perdu trop de poissons au premier rush alors maintenant je bride fort pour lui sortir une première fois la tête de l’eau le plus rapidement possible. Cette étape détermine en général tout le combat.

C’est chose faite et je reprend espoir. Elle me fait quelques rush en profondeur et vient tourner autour des algues en bordure. Pas de rocher alors je souffle et prie pour que ma pointe suive le poisson.

Elle s’approche à nouveau vers ma bordure en surface, je me laisse glisser jusque dans l’eau, la soie reste accrochée en haut et le moulin se déroule, je n’ai plus de réserve alors je me jette sur l’épuisette pour m’emparer du poisson….. yessssssss !!!!!!!!!!!!!!

P***** elle est énorme, l’épuisette plie à moitié, je remonte comme je peux sur la berge en tractant mon poisson comme une grosse carpe de 20kg !!!

P***** j’en ai les larmes aux yeux, je n’y crois même pas, qu’est ce qui se passe là ? C’est déjà finis ?? Mais elle est bien là en face de moi P***** !! Je met en route la caméra pour avoir quelques images avant qu’il se passe quoi que ce soit comme si elle allait disparaître.

P***** j’ai jamais fait un poisson comme ça moi. Il a l’intérieur des lèvres tout blanc et un énorme bec comme les poissons de Nouvelle Zélande qui circulent sur Internet. Je suis en train de rêver c’est pas possible.

Truite bécard monstrueuse

Une gueule aussi grosse que ma main.

P***** je prend le mètre dont je me sers jamais habituellement et le mesure difficilement, il dépasse les 63cm !!! J’ai pourtant fait une 58cm il y a 2 semaines mais là j’ai l’impression qu’il y a un monde entre les deux. Elle me fou des claques au moment ou je veux prendre quelques photos.

Truite record Benjamin CLERGET

C’est pas possible, ce n’est pas une truite ça !!

P***** je ne tiens pas en place et elle non plus alors le shooting sera bref, de toute façon je ne suis pas en état de faire grand chose à ce moment là…

Benjamin CLERGET Pêche et Sac à dos

Voici le poisson de l’histoire

Une histoire qui a faillis tourner au drame.

Comme a fait exprès, au moment ou je lâche mon poisson après une brève ré-oxygénation, je l’aperçois le ventre en l’air au fond de la fosse de 2m.

Nonnnn !!! Le moment tant redouté. Je l’ai pourtant senti partir entre mes main mais ne l’ai pas assez accompagné.

Il est 21h30 et fait déjà sombre, je suis en cuissarde, la fosse est profonde et j’aperçois tout juste cette longue tâche jaune.  Qu’est ce que je fais P***** ? J’ai l’impression qu’on me regarde, une sensation bizarre.

Je n’ai pas le choix, il faut que j’y aille, par respect pour ce poisson. Il m’a tout donné merde, ce que tout les pêcheurs attendent, il est magnifique et mérite de finir ses jours autrement qu’enfouis dans la vase.

Je pense à mon pote Seb à qui j’avais déjà envie de lui présenter. Je suis tiraillé entre la pensée des no-killistes extrèmistes que je dénonce souvent et le “simple” pêcheur passionné que je suis.

Qu’auriez-vous fait d’ailleurs dans ce cas de figure ??

C’est pourtant plus fort que moi, tout est différent dans cette histoire. Ni une ni deux, j’enlève toute mes affaires et pose mes habits sur l’unique petit morceau de berge que j’ai à ma disposition.

Je rentre dans l’eau froide en caleçon et m’approche du poisson au milieu de la rivière en espérant le récupérer avec mes pieds. Mais en remuant la vase je ne vois plus rien et le poisson est trop loin pour avoir pied. L’histoire tourne au cauchemar pour moi.

Je me recul et ne vois plus le poisson espérant qu’il est été effrayé par mes mouvements. Après quelques longues secondes, je l’aperçois à nouveau au même endroit !!

Cette fois ci, il faut accélérer, je vais aller le chercher à la main et le remonter. Je vais faire exactement comme si j’allais nager avec les truites avec une combinaison de plongée, un masque, un tubas, etc.

Je fais donc un jolis canard pour me diriger prêt du fond ou je n’ai plus pied. En ouvrant les yeux sous l’eau je distingue vaguement la tâche jaune, je tend les bras et sent le poisson, je l’attrape comme je peux et le remonte en surface.

Moi qui pensait que le plus dure était derrière mois, je suis à poil sous la flotte en apnée dans ma rivière pour récupérer un foutu poisson !!!

No-kill extrème

Parfois le no-kill extrème est judicieux 😉

Je profite de ce moment intime pour le ré-oxygéner tranquillement sans prendre de risque. Je le garde en main malgré quelques coups de queue et finis par le laisser repartir plus haut.

J’ai fais le choix de ne pas diffuser la vidéo qui pourrait laisser croire que j’ai fais cela pour le spectacle (une petite copie d’écran suffit amplement). Je vous laisserai donc avec votre imagination pour vivre ce moment riche en émotion.

C’est ainsi que se terminera ma longue histoire de pêche.

C’était peut-être un peu trop “extrême” pour certains mais je me suis simplement écouté et c’est dans ces moments que je croie encore plus au destin. J’ai sûrement pris ce poisson car je l’ai sauvé ensuite et j’espère rencontrer encore plus gros grâce au profond respect que j’ai pour ce que nous offre la nature. Merci !!

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15 Commentaires

  1. Brunet Geoffrey

    Superbe CR comme si on y était! Tu le mérite temps se fish!
    je connais cette sensation de superbe, du Graal temps recherché et enfin atteins! De ces moments d’apothéoses quand on touche enfin à notre rêve!
    Je l’ai partagé avec les truites de mer de ma région et ce genre de sentiment et difficilement qualifiable. Mais tous ce que je peux te dire, c’est que ce fish tu l’as mille fois mérité!
    Merci à toi pour le partage 😉

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  2. magnifique truite! félicitations, et beaux reportage.

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  3. Laurent l

    Félicitations benjamin. Superbe reportage comme d’habitude. Quel plaisir de lire ton blog

    .

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  4. Le Kiff Ben, superbe récit. Ha ces truites ce qu’elles nous font pas faire!

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  5. Arnaud

    Superbe réaction de ta part…

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  6. Bravo, magnifique poisson et belle histoire 🙂

    En revanche (et ce n’est pas pour faire le moralisateur), l’été surtout, il faut vraiment essayer de changer nos habitudes, surtout après un gros combat : réduire au minimum le temps de la séance photo, manipuler aussi peu que possible nos copines de jeu, privilégier les photos où on sort pas le poisson de l’eau. Je sais que c’est pas forcément simple, surtout quand on veut immortaliser un trophée pareil…

    Tout ça, j’en parle en connaissance de cause, je me suis fait de belles frayeurs (comme celle que tu décris très bien) par le passé sur de gros poissons et une fois, ça a vraiment tourné au drame, je m’en veux encore d’ailleurs :/

    Depuis, je ne cherche plus, je ne sors même plus le poisson de l’eau pour le décrocher et le photographier, tout ça se passe dans l’épuisette, où il se réoxygène doucement.

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  7. Super CR ! Je viens de découvrir ton blog, c’est un régal : c’est beau et bien écrit 😉

    Merci à toi d’avoir fait tant d’efforts pour sauver cette belle truite, ça fait vraiment plaisir !

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  8. Hello Alain,

    Content que ça te plaise 😉

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  9. Hello

    Je sais que tu as clairement raison.
    Mais pour ma part la photo est vraiment importante dans mon plaisir, quasi autant que la traque et la prise. Du coup je m’accorde ce risque en connaissance de cause 😉
    Je n’aime pas les extrêmes comme je le dit tout le temps. J’estime que je respecte déjà bcp le poisson en le remettant systématiquement à l’eau, en mouillant mes mains, en le réoxygénant, etc…

    C’est vrai que ça me ferai chier qu’il meurt pour un shooting photo je l’avoue mais ce n’est qu’un poisson il faut se résonner un peu 😉 Des fois je me demande ou est la limite chez les puristes du nokill extrème ? Sont ils tous végétariens par exemple ? Attention je dis pas cela contre toi c’est juste une vrai question que je me pose parmi tant d’autres…

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  10. Salut,

    je comprends tout à fait, pas de soucis 🙂

    Je ne suis pas un Ayatollah, loin de là même. Ton histoire m’a juste “parlé”, pour avoir vécu des moments similaires, la plongée en moins 😉

    La décision que j’ai prise -et que j’ai partagée ici- n’engage que moi, je déteste l’excès de morale aussi. Et je partage le côté plaisir de la photo, que je n’ai pas perdu d’ailleurs, même si le rituel a changé.

    Merci pour ton blog, continue à nous faire rêver et bonne bourre pour ces derniers jours avant la fermeture 🙂

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  11. Gongola44

    Excellent recis superbe combat très jolie truite … Quel pouvoir de fascination que la truite !!! Bravo

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  12. Content de voir ta réponse 😉 Merci à toi.
    Au plaisir

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  13. Joli reportage mais dommage tous ce “p…..” dans la vidéo.
    Tes vidéos sont bien, ton blog aussi, dommage ce langage.

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  14. Hello. Oui tu as raison, merci. Mais je suis moi même et c’est aussi ce qui plait je pense même si ça peut choquer les gens polis du coup. A+

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  15. Julien

    Encore un beau récit , merci =)

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